Souvenirs de Tsushima

Retour sur un jeu qui m’a fait passer par des moments d’impatience et puis de méfiance.

Jeu très attendu, avec de superbes graphismes, mais avec une certaine méfiance dû au genre, un open world, un choix de gameplay questionnable, une camera aléatoire et une durée de vie qui se dit trop courte, c’est avec méfiance que j’ai mis la main sur ce jeu.

Dès les premières minutes, la claque visuelle est bien là. Autant que le grand ouest américain dans Red Dead Redemption 2 mais en version japonaise. On se laisse porter par cette interface épurée selon la direction du vent.

Niveau maniabilité, dès le premier combat, les commandes sont claires et bien expliquées et les raccourcis sont accessibles facilement dans l’action. Avec un système de confrontation, façon iaido, un ralentit lors d’esquive ou de parade réussi pour laisser le temps de contre-attaquer, un mode fantôme pour se sentir tout puissant, différentes gardes, et quelques coups spéciaux puissant, jouer façon samurai/ronin est fluide et plus que jouissif pour un amateur de chanbara comme moi.

La grande question a surtout été qu’on ne pouvait pas locker un ennemi à la façon d’un Assassin’s Creed. Heureusement, lorsqu’on attaque, on se dirige automatiquement sur l’ennemi vers lequel on se dirige avec la joystick gauche, ce qui fait qu’on coupe rarement à côté. De plus, une parade, même de dos est faisable, à moins d’être dans une autre action. Les gars de Sucker Punch ont donc choisi la bonne formule pour garder les combats, surtout contre plusieurs ennemis, accessibles et intuitifs. Trop facile? Pas de souci, plusieurs niveaux de difficulté sont disponibles, avec le plus exigeant, « léthal », qui ne pardonne presque aucune coupe reçue.

Ajouté à ce système, une panoplie d’armes complètent l’arsenal de notre personnage, arc, kunai, bombe fumigène, sarbacane, etc…

Ghost of Tsushima ne s’appelle pas « ghost » pour rien. Vous êtes libre de jouer, et surtout d’appréhender les combats comme vous voulez, soit frontal, en arrivant dans un camp ennemi en l’annonçant haut et clair tel un samurai suivant son code d’honneur, soit de façon plus discrète en se faufilant dans les hautes herbes ou les toits à la façon d’un shinobi, c’est à dire un « ghost ». Ou bien sûr, un mélange des deux selon vos envies.

Il est vrai que la caméra ne s’oriente pas tout le temps de façon très optimisée. Il n’est pas rare de se retrouver derrière un arbre ou un mur, lors d’un combat. Mais rien d’ingérable. Un conseil quand même, privilégiez les combats en extérieur.

Si vous rushez le jeu en ne privilégiant que les quêtes principales, celui-ci devrait durer une petite dizaines d’heures. Mais si comme moi, vous vous laisser porter par les événements, et jouez toutes les quêtes annexes, c’est plutôt une quarantaine d’heures au moins qu’il vous faudra pour terminer le jeu.

Le scénario n’est pas révolutionnaire, mais il est très bien fait. On se surprend même à être frustré de ne pas pouvoir continuer certaines histoires annexes, dû à la trame principale du jeu. C’est aussi le genre de jeu qui une fois terminé, vous laisse avec un peu de nostalgie d’être déjà au bout du voyage.

A savoir également, le jeu dispose d’un mode coop en DLC gratuite, permettant de faire des raids seul ou jusqu’à quatre joueurs. Un mode non négligeable qui permet de se délecter du système de combat encore pour de longues heures. Pour une DLC gratuite, les petits de Sucker Punch de se sont pas foutu de nous!

Enfin, le mode photo est vraiment très accessible, via un raccourci, et plutôt complet. Ce jeu m’a tellement plus esthétiquement que, et c’est une première dans l’utilisation dans ce genre de mode pour moi, j’ai usé et abusé de ce mode. J’en suis presque venu à me demander pourquoi je ne m’initierais pas à la photo avec un vrai appareil.

Bref, Ghost of Tsushima, fait déjà parti des jeux auxquels il faut avoir joué. Et qui plus est, si vous avez toujours rêvé de vous mettre dans la peau d’un ronin fine lame, parcourant le Japon féodal et gré du vent.

WordPress thème enfant css bug

Si vous avez suivit correctement le tuto officiel de wordpress (en anglais) pour créer un un thème enfant, et que le css n’est toujours pas pris en compte, peut-être que finalement, ce n’est pas de votre faute et que ça vient du thème parent.

Pensez à vérifier que dans le fichier functions.php du thème parent, il n’y ait pas une fonction qui insert son css sans tenir compte d’un éventuel thème enfant. Une petite recherche de style.css peut aider.

Taille clé USB incorrecte

Pour récupérer la taille normale de votre clé USB (ex: après une erreur de manipulation en ligne de commande linux avec la commande dd)

Sous Windows:

  • ouvrir cmd avec les droits administrateurs
  • diskpart
  • list disk
  • select disk i, avec i le numéro du disque correspondant à votre clé USB en regardant la taille des disques
  • clean
  • create partition primary
  • format fs=fat32 quick
  • active
  • assign
  • exit

Et voilà! Votre clé est comme neuve, vide, mais comme neuve!

Camus Aquarius

Contrairement, à l’armure de Mü du bélier, qui était une armure « Gold Myth Cloth EX », la dernière version des myth cloths (je savais po O_o), beaucoup mieux penser niveau assemblage et articulation, j’ai eu plus de mal avec le vieux système… Pas le genre de figurine à monter/démonter tous les jours, sous peine d’usure très rapide des petits bitonios qui servent à tenir l’ensemble. (Mü ariesMilo scorpioShaka virgoDohko libraAioros sagittarius)

Mü Aries

La collection que vous pourrez bientôt admirer dans le resto, se complète tranquillement. Suite à l’épisode sans notice avec Milo du scorpion, celui avec Mü du bélier à presque été identique. Heureusement, mon petit doigt m’a suggéré que l’espèce d’image jaune style collector fournie dans chaque boite était aussi une notice de montage. Certe, en japonais, mais une notice avec des dessins quand même. Vu que jusque là j’avais eu droit à une notice en italien sur papier blanc basique… bref, le conditionnement fait toujours autant de miracle. (Milo scorpioShaka virgoDohko libraAioros sagittarius)

Libra Dohko

Ça y est, le deuxième vient tous juste de faire son apparition dans la collection de myth cloth!!! ^_^ Le bienfaiteur n’a pas voulu que je divulgue son nom, mais je le remercie chaleureusement. Il pourra l’admirer dans notre futur resto. En attendant, voila la version image.

Encore merci!… Brûle cosmos, brûûûûûûûûle!!!!! (Aioros sagittarius)

Qwiki

Qwiki, kézako?! Peut être le prochain Google killer, oui, j’ai bien dit le prochain « Google Killer »!! En tout cas en matière de recherche. Moi ça me dérangerais pas du tout de faire me recherche comme ça.

Bon après finit les plagiats en mode copié/collé pour ses exposés. Mais trève de blabla, dans la suite, la vidéo qui décrit ce concept qui, malgré qu’il soit encore prochainement qu’en version alpha, semble très prometteur « _ » (merci Rom, pour l’info ~_^).

Continuer la lecture de « Qwiki »